Okuden : art secret (qui danse devant nos yeux)
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Le gaz sarin, employé en Syrie, l'a été à forte dose, d'un coup et sur
des êtres humains, sous une forme claire et non transformée dans un
lapse de temps court. Et cela ne fait pas bon genre et mérite une
punition. Orchestrée dans une mascarade montée de toutes pièces par tous
les pays. Montrant aux caméras des scènes de dirigeants si grotesques
dans leurs réactions infantiles, que s'en est trop pathétique pour être
plausible. De Poutine à Obama en passant par Hollande ou Xi Jinping.
Qu'ont-ils
tous en communs? Ils autorisent tous de par leurs signatures où
dérogation, des produits chimiques cancérigènes de la même famille que
le gaz sarin (organophosphorés) et nous le font ingéré dans une immense
industrie mondialo-économique, les uns implantant chez les autres, les
supermarchés qui nous les font bouffer, mais tout doucement, a petite
dose... et ca c'est bien !
organophosphorés : dans le roundup
(désherbant qui peuple vos légumes du supermarché et surement votre
estomac), le malathion (antiparasitaire très utilisé en Chine, ex-URSS
et aux USA, interdit depuis 2007 dans l’Union Européenne) et le Phosmet
(utilisé sur les pommiers). Mais parce qu'on nous tue tous doucement et
lentement, et que ceux qui le font se sont d'autres "nous" inconscient
d'avoir accepté les normes autorisées, ça passe naturellement. C'est la
vie...
Ce qui nourrit l'esprit humain, c'est le recul des années,
la mémoire... et non l'actualité qu'on agite sous le nez affamé de
quelques futurs pauvres européens. Si j'attire votre attention
brutalement, vous oublierez surement tout le mal que d'autres vous ont
fait lentement. Vous vous défoulerez immédiatement sur ce que vous avez
sous la main. Mais que faisons nous pour ce qui se perpétue morbidement
chaque jour, chaque instant? Seule la méthode change et nous n'en
voulons jamais à ceux qui nous détruisent à petite dose. Nous les
aimons. Nous votons pour eux. Nous les encourageons. Mais nous savons
que quelque chose ne tourne pas rond. A la limite du syndrome de
Stockholm.
Cela révèle que la guerre, bruyante et brutale, dans
les frontières et pour du terrain, c'est du passé. Désormais elle est
permanente insidieuse et ressemble à la paix parsemée de beaucoup de
cancer qu'on récolte dans les supermarchés, les hôpitaux, et les lieux
de fête d'une société dite civilisée.
Les profits que génèrent de
tuer des millions de gens, quand on a compris que c'est ce qui poussait
une civilisation à devenir productive, on ne peut s'en passer et
quelques uns ont compris qu'en investissant un peu dans les produits de
fin de vie, la fin prématurée des nôtres leur rapportait beaucoup :
espace, liberté, assurances vie, économie...
La surpopulation?
Si vous êtes un vrai word-businessman, vous comparez cela aux restes
d'une boucherie : "on récupère tout ce qui dépasse, les tissus
conjonctifs, on les broie, les malaxe, on en tire une pate appelée "pink
slime" et on s'en sert comme produit esthétique pour que la viande
hachée reste rose"
La réalité comme la vérité deviennent ignoble,
moche, étalée par des êtres abjectes qui se drogue, ont des putes, sont
des traitres, (Tom Spencer, Julian Assange, Snowden). Alors
qu'affrontée, elle est l'endurance mentale, la volonté, et la fierté du
genre humain. Mais lorsqu'on favorise l'ego politique, le socialement
correcte, lorsqu'on veut être bercé d'illusion et choyer encore un peu
alors qu'il faut se réveiller, on substitue alors l'une des rares forces
de l'humanité, à une haine, une frustration, une arrogance et une
fragilité pour laquelle il ne faut pas s'étonner de devoir sourire
hypocritement et croiser des regards faux comme mauvais. Il ne faut pas
s'étonner de se réveiller chaque jour dans ce monde et de se sentir
responsable alors qu'on a rien fait, parce qu'on ne peut rien y faire a
part faire bonne figure, être présentable, se tenir droit ou sinon... on
est marginalisé.
Nous en sortirons lorsque la colère sera si
forte, qu'aucune manifestation, aucun stratagème, aucun sport ni J.O. ni
aucune distraction ne pourront nous faire oublier que le mal, ce n'est
pas 5 secondes de douleurs brutale dans un pays situé à quelques
milliers de kilomètres mais 200 années de malversations
socio-politiques. Ou le bien, n'est pas non plus quelques secondes de
plaisirs, mais 200 années de culture. Mais pour l'instant absolument
tout nous distrait de cette état d'esprit et nous oblige à regarder là
où nous sommes. Tout nous oblige à ne surtout pas prendre du recul.
C'est surtout ce qu'il faut empêcher à tous prix, même celui de la vie :
que la conscience du peuple se réveil. Et pour cela, quelques feu
d'artifices, une distraction, une nouvelle mode, nouvelle
technologie,... cela suffit.
La démocratie c'est lorsque tous disent "Nous voulons... nous ferons... nous ne tolérerons pas".
La
dictature c'est lorsque quelques uns disent pour vous : "Nous voulons
pour vous... nous feront pour vous... nous ne tolérerons de personne"
Nous serons prêt lorsque notre seul oeil (ancien français : Sol - Eil) sera accoutumé. Voilà pourquoi en cette année 2013, un culte pour l'oeil d'Horus refait surface, sans cesse.
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