jeudi 12 septembre 2013

Le stratagème de l'Okuden

Okuden : art secret (qui danse devant nos yeux)
http://chenezen.over-blog.com/article-les-okuden-ces-secrets-qui-dansent-devant-nos-yeux-97666338.html

Le gaz sarin, employé en Syrie, l'a été à forte dose, d'un coup et sur des êtres humains, sous une forme claire et non transformée dans un lapse de temps court. Et cela ne fait pas bon genre et mérite une punition. Orchestrée dans une mascarade montée de toutes pièces par tous les pays. Montrant aux caméras des scènes de dirigeants si grotesques dans leurs réactions infantiles, que s'en est trop pathétique pour être plausible. De Poutine à Obama en passant par Hollande ou Xi Jinping.

Qu'ont-ils tous en communs? Ils autorisent tous de par leurs signatures où dérogation, des produits chimiques cancérigènes de la même famille que le gaz sarin (organophosphorés) et nous le font ingéré dans une immense industrie mondialo-économique, les uns implantant chez les autres, les supermarchés qui nous les font bouffer, mais tout doucement, a petite dose... et ca c'est bien !

organophosphorés : dans le roundup (désherbant qui peuple vos légumes du supermarché et surement votre estomac), le malathion (antiparasitaire très utilisé en Chine, ex-URSS et aux USA, interdit depuis 2007 dans l’Union Européenne) et le Phosmet (utilisé sur les pommiers). Mais parce qu'on nous tue tous doucement et lentement, et que ceux qui le font se sont d'autres "nous" inconscient d'avoir accepté les normes autorisées, ça passe naturellement. C'est la vie...

Ce qui nourrit l'esprit humain, c'est le recul des années, la mémoire... et non l'actualité qu'on agite sous le nez affamé de quelques futurs pauvres européens. Si j'attire votre attention brutalement, vous oublierez surement tout le mal que d'autres vous ont fait lentement. Vous vous défoulerez immédiatement sur ce que vous avez sous la main. Mais que faisons nous pour ce qui se perpétue morbidement chaque jour, chaque instant? Seule la méthode change et nous n'en voulons jamais à ceux qui nous détruisent à petite dose. Nous les aimons. Nous votons pour eux. Nous les encourageons. Mais nous savons que quelque chose ne tourne pas rond. A la limite du syndrome de Stockholm.

Cela révèle que la guerre, bruyante et brutale, dans les frontières et pour du terrain, c'est du passé. Désormais elle est permanente insidieuse et ressemble à la paix parsemée de beaucoup de cancer qu'on récolte dans les supermarchés, les hôpitaux, et les lieux de fête d'une société dite civilisée.

Les profits que génèrent de tuer des millions de gens, quand on a compris que c'est ce qui poussait une civilisation à devenir productive, on ne peut s'en passer et quelques uns ont compris qu'en investissant un peu dans les produits de fin de vie, la fin prématurée des nôtres leur rapportait beaucoup : espace, liberté, assurances vie, économie...

La surpopulation? Si vous êtes un vrai word-businessman, vous comparez cela aux restes d'une boucherie : "on récupère tout ce qui dépasse, les tissus conjonctifs, on les broie, les malaxe, on en tire une pate appelée "pink slime" et on s'en sert comme produit esthétique pour que la viande hachée reste rose"

La réalité comme la vérité deviennent ignoble, moche, étalée par des êtres abjectes qui se drogue, ont des putes, sont des traitres, (Tom Spencer, Julian Assange, Snowden). Alors qu'affrontée, elle est l'endurance mentale, la volonté, et la fierté du genre humain. Mais lorsqu'on favorise l'ego politique, le socialement correcte, lorsqu'on veut être bercé d'illusion et choyer encore un peu alors qu'il faut se réveiller, on substitue alors l'une des rares forces de l'humanité, à une haine, une frustration, une arrogance et une fragilité pour laquelle il ne faut pas s'étonner de devoir sourire hypocritement et croiser des regards faux comme mauvais. Il ne faut pas s'étonner de se réveiller chaque jour dans ce monde et de se sentir responsable alors qu'on a rien fait, parce qu'on ne peut rien y faire a part faire bonne figure, être présentable, se tenir droit ou sinon... on est marginalisé.

Nous en sortirons lorsque la colère sera si forte, qu'aucune manifestation, aucun stratagème, aucun sport ni J.O. ni aucune distraction ne pourront nous faire oublier que le mal, ce n'est pas 5 secondes de douleurs brutale dans un pays situé à quelques milliers de kilomètres mais 200 années de malversations socio-politiques. Ou le bien, n'est pas non plus quelques secondes de plaisirs, mais 200 années de culture. Mais pour l'instant absolument tout nous distrait de cette état d'esprit et nous oblige à regarder là où nous sommes. Tout nous oblige à ne surtout pas prendre du recul. C'est surtout ce qu'il faut empêcher à tous prix, même celui de la vie : que la conscience du peuple se réveil. Et pour cela, quelques feu d'artifices, une distraction, une nouvelle mode, nouvelle technologie,... cela suffit.

La démocratie c'est lorsque tous disent "Nous voulons... nous ferons... nous ne tolérerons pas".

La dictature c'est lorsque quelques uns disent pour vous : "Nous voulons pour vous... nous feront pour vous... nous ne tolérerons de personne"

Nous serons prêt lorsque notre seul oeil (ancien français : Sol - Eil) sera accoutumé. Voilà pourquoi en cette année 2013, un culte pour l'oeil d'Horus refait surface, sans cesse.

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