samedi 28 septembre 2013

Force politique : Qu'est ce que le Devoir?

Dans la vie d'un être humain, chacune de ses pensées deviennent des actions. SAUF Lorsqu'il a peur. C'est pour cela que nos mauvaises pensées ne restent que des pensées : la peur, le spectre de la prison et de la punition. Une excuse qu'on refoule si profond qu'on imagine échapper à tout cela. Si vous avez eut envie de tuer, c'est que vous le feriez si vous n'aviez pas peur...
Les gens biens font rarement peur. De plus, bien des gens ne comprennent pas pourquoi ils font des choses biens.
La réponse est simple : tandis qu'ils pensent à cultiver, élever, sauver, ou a rien... leur esprit est occuper à autre chose, sans aucune peur, en pleine action - inconscient du danger - ils n'ont pas le temps de penser au mal ni à l'action qui l'accompagne, ni à la peur qui les en empêche. Ils font ce qu'ils doivent faire et rarement ce qu'ils ont envie de faire. Mais c'est avant tout une question de culture. Car il existe aussi des gens qui n'ont pas le temps de penser aux choses biens.

A l'identique : tandis qu'il ne se passe affreusement rien dans la banlieu de notre galaxie, nos chances de survie à une destruction planétaire sont considérablement réduites

Au cours de sa vie, une personne aura prise de nombreuses décisions mais celles qui ont améliorées le monde et la vie de chacun se comptent sur les doigts de la main. Elles partent souvent non pas d'une bonne intention, mais d'un refus de voir se répéter des drames.

Quelles décisions peuvent prendre des gens qui n'ont vus ni vécus aucun drame? Protégé par la sécurité d'un foyer, d'une politique, d'une nation, d'une société ?

Quelles décisions peuvent prendre un enfant qui suit son idéal, ses envies, et ses instincts primitifs?

Ces deux personnes ne connaissent pas la peur. Ni les conséquences de leurs décisions.

Parmis les décisions les plus sages qui ont été prises par le passé et influencent notre vie de tous les jours, celle d'occuper les esprits des populations avec la religion (venez prier le jour où il n'y a rien à faire et où vous risquez d'avoir des pensées que vous regretteriez). Ou avec le sport. Avec l'actualité.

La religion est la mondialisation d'une activité qui se passait à l'échelle de chaque village, il y a des milliers d'années : le chef organisait une cérémonie lorsque le moral n'allait pas.

Car tant que chacun ne peut ni maîtriser ses pensées, ni les contrôler pour les orienter en connaissance des conséquences, alors il n'y a que du chaos.

C'était - à une époque - le rôle des parents que d'apprendre à leurs enfants ce qui est important à leur échelle mais aussi en conséquence des autres.

Le devoir politique appartient à ceux dont le vécu est emprunt de l'expérience des décisions et des conséquences. Une telle personne ne peut être ni élue, ni en rapport directe avec le peuple car ce dernier est intolérant. Elle doit être représenté par une personne élue par le peuple. Elle a l'expérience de sa vie. Elle a dirigé sa famille, cultivé son jardin, éduqué ses enfants, avec des erreurs qu'elle a réparées. Car au pouvoir nous n'avons que rarement le droit à l'erreur et c'est pourtant nécéssaire pour devenir une véritable force décisionnelle.

Une force décisionnelle capable de prendre de bonne décision ne peut pas non plus avoir voué sa vie pour les autres sans avoir commencé par gérer sa propre vie.

Un grand dirigeant n'est donc ni un pape, ni un politicien, ni célibataire, mais ancré dans une vie stable et très présente, assumant un passé même difficile, ayant pris les décisions pour que ses enfants fassent tourner le monde avec leurs propres inspirations. Il peut être à la tête d'une entreprise dans laquelle il fait participer des gens dont il a obtenu la confiance en leur donnant le sens des valeurs et non la valeur de l'argent. Et le plus difficile : il sait donner une valeur monétaire juste à l'effort de chacun sans se laisser emporter dans ses envies de faire plaisir à tout un chacun. Il sait s'entourer avec humilité de ceux qui expliqueront mieux les choses que lui à tous les niveaux.

Mais quoiqu'il arrive, une fois au pouvoir, il devra réappliquer son modèle à l'ensemble du pays. Pour que ce dernier soit l'exemple d'une réussite. Il sera confronté à l'orgueil et à l'exigence des autres pays. Et si il ne leur a pas démontré que l'exemple de sa vie vaut mieux que de s'entêter dans l'erreur, alors il devra faire la guerre pour que son modèle, libre d'inspiration et emprunt de valeurs, soit compris et intéresse. Tout simplement parce que certaines cultures ne voient pas. N'entendent pas. Ne comprennent que la violence et la peur. Et leur modèle est la soumission inconditionnelle, car il n'y avait, a leur époque, pas d'autres alternatives.

Qu'est ce qui a réellement répendu la peur dans le monde ? Non pas la science. Mais ce que l'homme en a fait.

Mais c'est la science qui a le plus aidé le monde.

Alors qu'est ce que le Devoir Politique ?

Celui de donner du pouvoir à des personnes d'expérience qui aiment le monde comme ils aiment leurs familles. Passionnés de science et de voyage. Ils sont à la tête d'entreprises qui ambitionnent d'allier nature humaine et découvertes, sciences et voyages.  Ils savent aussi que tout cela n'intéresse pas les gens qui ont des difficulté à gérer leurs besoins. Mais ils n'en font pas leur profit en créant le besoin (drogues alimentaires). Ils investissent dans la libération des besoins.

Qui sont-ils ? Et surtout : où sont ils?

Pour qu'une force dirigeante émerge,  tout commence localement. Non pas à l'échelle d'un pays, mais à l'échelle d'une famille puis d'un département et ensuite d'une région. L'effet domino fera le reste...

Le modèle qui s'en rapprochait le plus était américain : les régions étant dominé par un pouvoir entreprenarial emprunt de valeur mais chaque région se regroupant et se retrouvant pour discuter.

Dernièrement celà ne tournent plus "rond"

Pourquoi?

Se réunir et échanger est positif. Mais relever sans cesse ce qu'il ne faut pas faire dans telle ou telles régions pour ne pas prendre en exemple un type de décisionnelle a un effet néfaste. Démoralisant.
Lors de telles réunions inter-dirigeants, c'est ce qui est positif qui doit être pris en exemple. Et le mettre en oeuvre coùte que coùte. Ainsi à l'image d'un esprit occupé, une région occupée à mettre en oeuvre un mécanisme positif n'a plus le temps, l'énergie et l'argent pour investir dans ce qui jusqu'à présent nuisait à l'économie. Un modèl essentiel peut être repris semaine après semaine. Mois après mois pour qu'année après année, l'impacte soit positive sur la durée.
Si la décisionnelle se fixe sur l'aspect négatif, mais aussi sur une échelle uniquement régionale ou provinciale, alors le sens des réunions ne sera plus d'améliorer une situation mais d élaguer ce qui ne va pas, tandis que l'immobilisme s'installe et qu'une dynamique économique se perd, coupant tout élan au négatif, mais aussi au positif. C'est cela, abandonner sa famille.

Ce qui est négatif n'a aucune importance. L'heure n'est plus aux jugements. Le jugement lui même n'a plus le temps. La loi, le droit et le pénal eux même sont la preuve d'une dynamique défaillante car lorsque s'unissent quelque part des responsables à quelques échelles que ce soit, il y a toujours quelque chose de négatif qui y est relevé. Un jugement à pourvoir. Au détriment de "Que faut-il faire de mieux et que faut il adopter qui marche pour vous et que nous ne faisons pas?"

En rajoutant une dimension positive, un projet, nous donnons aussi du travail à ceux qui n'en avaient pas. Nous leurs permettons d'avoir de quoi fonder une vie et une famille. Quant à ce que nous faisions de négatif, ces projets mourrons petit à petit d'eux même sans qu'on ait réellement besoin de discuter de comment les stopper, les juger, ou bien même les endiguer.

Ils n'existent que parce que nous ne prenons pas les décisions positives et passons notre temps à discuter du négatif et du préoccupant du plus petit niveau décisionnel, jusqu'aux plus hautes sphères.

Quel modèle peut montrer l'exemple à échelle humaine. Prendre son temps et investir pour pousser ce modèle vers une entreprise, libéré de certaines contraintes primaires, puis permettre à ceux qui entreprennent de dialoguer le plus souvent possible sur l'aspect positif a retenir, laissant aux portes des salles de réunion l'aspect néfaste qui doit s'éteindre non pas sous forme de vies qui disparaissent, mais déjà dans l'esprit de chacun, sous la forme d'idées qui, nous le savons maintenant, ne doivent plus s'inviter dans nos esprits.

Comment? Occupons notre temps, nos réunions et nos esprits de solutions positives. Ou sinon, ce sera le sacrifice de vies entières sur lesquelles il faudra investir.

C'est cela le Devoir Politique. Il ne commence ni à l'école, ni à l'enfance, ni trop tôt ni trop tard. Il commence dés qu'on le décide en étant stricte sur ce seul point. Par effet de conséquence nous n'aurons plus besoin d'être stricte à tous les niveaux.

C'est une scission entre ce qui est positif et un rejet de ce qui est négatif. Un rejet n'est jamais bon, mais seul ce qui se suffit à lui même et génère sa propre culture a des chances de survivre : la nature ne nous a jamais caché que sa sélection était incontournable, et quelle éradiquerait tout ce qui ne peut survivre à elle même. Nous n'avons pas besoin d'être nos propres juges lorsque la nature se charge déjà impitoyablement de détruire tout ce qui est faible car "dépendant". Et le Devoir politique est aussi de considérer que tout système de Co-dépendance est voué à l'échec.

Nous sommes actuellement dans ce type de système. A l'échelle global nous nous comportons presque comme une entité auto-suffisante. Mais il viendra un jour où il y aura une scission. Ce que je proposais ici, c'est qu'il soit dans l'esprit de chacun, plutôt qu'autour et contre nous. Ce que nous faisons en nous, la moindre pensée, non-acté ou acté, bien ou mal, apparaît autour de nous.

Le Devoir Politique est d'amener dans les décisionnelles, un travail moral sur nous même afin qu'il impacte chacun en amont comme en aval, à tous les niveaux géographiques mais aussi indépendamment de toutes les époques.

Etre Dirigeant n'est pas de prendre des décisions pour les autres. Mais de communiquer aux autres les décisions qu'on a prises pour soi-même afin d'améliorer et diriger nos propres vies.


jeudi 12 septembre 2013

Le stratagème de l'Okuden

Okuden : art secret (qui danse devant nos yeux)
http://chenezen.over-blog.com/article-les-okuden-ces-secrets-qui-dansent-devant-nos-yeux-97666338.html

Le gaz sarin, employé en Syrie, l'a été à forte dose, d'un coup et sur des êtres humains, sous une forme claire et non transformée dans un lapse de temps court. Et cela ne fait pas bon genre et mérite une punition. Orchestrée dans une mascarade montée de toutes pièces par tous les pays. Montrant aux caméras des scènes de dirigeants si grotesques dans leurs réactions infantiles, que s'en est trop pathétique pour être plausible. De Poutine à Obama en passant par Hollande ou Xi Jinping.

Qu'ont-ils tous en communs? Ils autorisent tous de par leurs signatures où dérogation, des produits chimiques cancérigènes de la même famille que le gaz sarin (organophosphorés) et nous le font ingéré dans une immense industrie mondialo-économique, les uns implantant chez les autres, les supermarchés qui nous les font bouffer, mais tout doucement, a petite dose... et ca c'est bien !

organophosphorés : dans le roundup (désherbant qui peuple vos légumes du supermarché et surement votre estomac), le malathion (antiparasitaire très utilisé en Chine, ex-URSS et aux USA, interdit depuis 2007 dans l’Union Européenne) et le Phosmet (utilisé sur les pommiers). Mais parce qu'on nous tue tous doucement et lentement, et que ceux qui le font se sont d'autres "nous" inconscient d'avoir accepté les normes autorisées, ça passe naturellement. C'est la vie...

Ce qui nourrit l'esprit humain, c'est le recul des années, la mémoire... et non l'actualité qu'on agite sous le nez affamé de quelques futurs pauvres européens. Si j'attire votre attention brutalement, vous oublierez surement tout le mal que d'autres vous ont fait lentement. Vous vous défoulerez immédiatement sur ce que vous avez sous la main. Mais que faisons nous pour ce qui se perpétue morbidement chaque jour, chaque instant? Seule la méthode change et nous n'en voulons jamais à ceux qui nous détruisent à petite dose. Nous les aimons. Nous votons pour eux. Nous les encourageons. Mais nous savons que quelque chose ne tourne pas rond. A la limite du syndrome de Stockholm.

Cela révèle que la guerre, bruyante et brutale, dans les frontières et pour du terrain, c'est du passé. Désormais elle est permanente insidieuse et ressemble à la paix parsemée de beaucoup de cancer qu'on récolte dans les supermarchés, les hôpitaux, et les lieux de fête d'une société dite civilisée.

Les profits que génèrent de tuer des millions de gens, quand on a compris que c'est ce qui poussait une civilisation à devenir productive, on ne peut s'en passer et quelques uns ont compris qu'en investissant un peu dans les produits de fin de vie, la fin prématurée des nôtres leur rapportait beaucoup : espace, liberté, assurances vie, économie...

La surpopulation? Si vous êtes un vrai word-businessman, vous comparez cela aux restes d'une boucherie : "on récupère tout ce qui dépasse, les tissus conjonctifs, on les broie, les malaxe, on en tire une pate appelée "pink slime" et on s'en sert comme produit esthétique pour que la viande hachée reste rose"

La réalité comme la vérité deviennent ignoble, moche, étalée par des êtres abjectes qui se drogue, ont des putes, sont des traitres, (Tom Spencer, Julian Assange, Snowden). Alors qu'affrontée, elle est l'endurance mentale, la volonté, et la fierté du genre humain. Mais lorsqu'on favorise l'ego politique, le socialement correcte, lorsqu'on veut être bercé d'illusion et choyer encore un peu alors qu'il faut se réveiller, on substitue alors l'une des rares forces de l'humanité, à une haine, une frustration, une arrogance et une fragilité pour laquelle il ne faut pas s'étonner de devoir sourire hypocritement et croiser des regards faux comme mauvais. Il ne faut pas s'étonner de se réveiller chaque jour dans ce monde et de se sentir responsable alors qu'on a rien fait, parce qu'on ne peut rien y faire a part faire bonne figure, être présentable, se tenir droit ou sinon... on est marginalisé.

Nous en sortirons lorsque la colère sera si forte, qu'aucune manifestation, aucun stratagème, aucun sport ni J.O. ni aucune distraction ne pourront nous faire oublier que le mal, ce n'est pas 5 secondes de douleurs brutale dans un pays situé à quelques milliers de kilomètres mais 200 années de malversations socio-politiques. Ou le bien, n'est pas non plus quelques secondes de plaisirs, mais 200 années de culture. Mais pour l'instant absolument tout nous distrait de cette état d'esprit et nous oblige à regarder là où nous sommes. Tout nous oblige à ne surtout pas prendre du recul. C'est surtout ce qu'il faut empêcher à tous prix, même celui de la vie : que la conscience du peuple se réveil. Et pour cela, quelques feu d'artifices, une distraction, une nouvelle mode, nouvelle technologie,... cela suffit.

La démocratie c'est lorsque tous disent "Nous voulons... nous ferons... nous ne tolérerons pas".

La dictature c'est lorsque quelques uns disent pour vous : "Nous voulons pour vous... nous feront pour vous... nous ne tolérerons de personne"

Nous serons prêt lorsque notre seul oeil (ancien français : Sol - Eil) sera accoutumé. Voilà pourquoi en cette année 2013, un culte pour l'oeil d'Horus refait surface, sans cesse.

mardi 29 mai 2012

Fin du monde pour certains, évolution pour d'autres :

Mon interprétation n'engage que moi, et ce qui suit nécessite une vision capable de synthétiser la géographie de ce monde, sa politique, ses actualités dans tous les domaines, mais aussi son histoire. Ce que j'appel la Géochronopolitique. C'est ce que font les spécialistes de ce monde tandis qu'ils se réunissent en privé ou publiquement. La chrono-synergie de la race humaine en serait une part du concept où l'évolution - souvent par rapport à un environnement déterminé - et la biologie entre en jeu dans les prises de décision politiques. Il n'y a besoin d'aucune preuve quand les Faits et l'Histoire prouvée par la science et les archives, sont sous nos yeux. Les erreurs pouvant être commises sont de l'interprétation et les dangers d'interprétations peuvent amener à la guerre et aux meurtres tels qu'on a pu le voir dans les religions. Cependant quand les faits sont sous vos yeux, vous trouverez toujours des scientifiques pour vous demandez quelles preuves vous avez pour dire que le ciel est bleu lorsqu'il est bleu pour tous. Et je parle de Tous au présent, comme au passé. Je ne parlerai pas d'avenir, celui ci n'existant pas et le ciel pouvant encore changer de couleur pour des raisons que les scientifiques peuvent vous expliquer raisonnablement mieux que moi. A ce titre, il est naturel que l'histoire n'existe plus telle que nous la connaissons, lorsque des découvertes sont révélées dans les domaines des sciences. Il en est de même pour la géographie : je suis sidéré de voir que des scientifiques de renom se posent encore des questions sur l'apparition incroyable de monuments ethniques identiques en Indonésies ou en Amérique du sud. Comment ont-il pu oublier que la terre composait un seul continent à l'origine, et que la tectonique des plaques avait permise le morcellement de continents entier, et ce, du vivant des êtres humains. Et parfois même avec une évolution qui n'aurait rien à envier à celle qu'on pense avoir aujourd'hui. Pour certains, cela vous paraît évident une fois mis-en-lumière? Il est donc clair qu'il y a un manque données provenant d'autres sciences que celle de la géographie et qui pourtant y contribuerait. Comme parfois nous comparons les frontières à l'histoire dans le cours du temps mais surtout, du choix des humains vis a vis de l'environnement. Les données de toutes formes de sciences doivent pouvoir être réunis dans chaque thèses, chaque débats, chaque choix quant à l'avenir. Et synthétisé dans une seule science. De la même façon que nous avons réuni la Médecine et l'Alchimie pour en faire les Sciences d'aujourd'hui. Les sciences physiques ne sont-elles pas l'évolution de phénomènes que nous ne comprenions pas séparément? Et qu'il nous a été donné de mieux comprendre une fois la Chimie et la Physique liés l'une à l'autre? Sans cette évolution nous serions encore dans l'obscurantisme, l'occulte, les magies... diverses. Passif devant des constats qui nous dépassent car nous les analysions isolément l'un de l'autre. Il fallut attendre des hommes de sciences osant regrouper ces matières en une seule pour pouvoir dire avec évidence qu'il ne s'agissait pas de magie mais bien de la science de l'univers de la vie et de la terre. Je vous ai dépeint cette science nouvelle qui est exigeante en terme de largesse d'esprit, de perception et de complexité. Un ordinateur la synthétiserait plus rapidement. Mais pourrions nous en comprendre les résultats? Et paradoxalement elle ne demande qu'un esprit simple, parfois d'enfant, comme lorsque ce dernier trouve une corrélation entre les planètes et les atomes. Mais elle permet une déduction évidente quand à l'avenir et ce par l'observation d'un passé de tous les temps et de toutes les cultures mais notamment de celles qui sont mises en évidence de nos jours a travers des théories conspirationnistes, occultes et bancaires.... Tout ceci peut être aisément résumé : Les enjeux du monde et de l'humanité ont toujours été l'énergie. Autant celle que l'on peut accumuler dans nos muscles en se nourrissant, comme celle que l'on pourrait accumuler dans une batterie. Qu'en déduire de la situation actuelle? J'entends parler de Crise, de Conspiration illuminati et de Pharaon, d'oeil d’Horus, de crise bancaire. D'euros. D'incas. De poissons morts... d'extra-terrestres... Pour moi, tout celà est le patchwork parcellaire d'une science et d'une histoire que nous ne comprenons pas car elle englobe diverses espace dans la distance (Amérique du sud Europe Afrique etc...) mais aussi dans le temps (civilisations). Je ne vais me focaliser que sur mon interprétation de ce fameux calendrier Mayas. Cette civilisation qui comme les pharaons, construisait des pyramides aux formes diverses mais qui toutes deux adoraient l'or pour sa conductivité hors-normes. Sur leur calendrier, il y a 4 ères identifiées, de la terre qui se fissure, à l'air en tempête, à l'eau qui inonde  jusqu'au feu qui dévaste tout. Chacune de ces ères représente un drame naturel focalisé sur une énergie spécifique : La terre produit le magnétisme, l'air l'énergie éolienne, l'eau l'énergie hydroélectrique, et le feu, l'énergie par combustion que ce soit du charbon, du pétrole, de l'atome. Et je présume que chacune de ces énergies ou de l'assemblage de toutes, ont déjà été exploités par l'homme : de leurs synthèses ont été fait les cerf-volants, les avions, les éoliennes; De l'eau on a construit les barrages, les bateaux a voile puis a vapeur. Du magnétisme de la terre on a créé les boussoles, les gyro intégré dans nos smartphones, du feu on a fait avancer les voitures et les bateaux à charbon puis en finesse par le choc des atomes, comme nous choquions des silex, on a fait l'atomique qui produit une fusion ou une fission. Mais tout cela reste les 4 éléments. Qu'avons nous fait à partir de la 5ème énergie qui finalemenent est l'amalgamme des autres et est représenté au centre du calendrier Mayas? Le solaire?Chaque énergie représente non seulement un drame, mais aussi, de ce traumatisme qu'a connu l'humanité, nous avons compris comment utiliser tout ce pouvoir. La terre a été noyée, Les tempêtes se sont abattues sur elles, les inondations de Noë ont été rapportées, les Volcans nous ont appris la puissance de la combustion pour les mousquets, désormais, ce serait le cycle solaire qui perturbe notre terre. Et si nous survivons, nous entrerons surement, à l'image des autres ères, dans l'ère solaire. Savez vous pourquoi l'or était si vénéré par les Pharaons, Incas, Mayas, Occidentaux (de nos jours)? Selon certaines croyances, la couleur de l'or était obtenue grâce au soleil. Les pharaons n'avaient-t-ils pas pour dieu Horus? Et les incas? Encore une fois les scientifiques vous expliquerons mieux que moi cette évidence en de nombreux points. Mais, Tous ont compris, que l'or, le pétrole, les ressources énergétiques de la terre, de l'air de l'eau et du feu, n'étaient pas les seules à devoir être exploitées. Les rayons solaires, avec les connaissances que nous commençons à en avoir, sont une source quasi inépuisable d'une énergie pour laquelle on a fait tant couler de sang en tant qu'humain. Le besoin des ressources, a suivit une évolution. Pour les conquérir nous avons tué, pillé, endoctriné, que ce soit en vérité pour la terre, pour la pierre, pour la conscience des esprits (religions) pour l'air que nous respirons, il est désormais tant de passer à autre chose : le soleil. Sans pour autant l’idolâtrer. L’idolâtrie a ce problème que tandis que l'on adore, on ne fait rien d'autre. Cependant, cette transition, ne se fera pas sans douleur et sans larmes. Et même si les causes naturelles sont dévastatrices, le fléau le plus dangereux et destructeur pour l'homme, est l'homme lui-même, surtout lorsqu'il perd son pouvoir : Aucun homme de pouvoir n'a pas juré que si il devait tomber, il ne tomberait pas sans emporter d'autres avec lui... Pour moi, c'est cela la fin du monde : la Folie de ceux qui voient leurs pouvoirs se réduire, devant les nouvelles ressources que l'univers, en influençant notre terre, va nous apporter. L'adaptation reste l'alternative. Ce seront encore de nouvelles ressources à conquérir. Et c'est aussi pour moi, comme pour nos ancêtres qui étaient là bien avant nous, avec bien plus de connaissance et de sagesse, le début d'une nouvelle ère : L'ère du soleil, et la chute de tous ceux qui se faisaient passer pour le plus grand des pouvoirs mais ne s'adaptent pas. Cela me rappel étrangement, le roi soleil, que la France a fait tombé pour les même raisons : il avait été couronné comme "soleil" et l'envoyé du divin sur terre. Ce fût aussi le drame et la chute de Pharaon. Et celle des incas qui avaient tapissés leurs cités d'or afin qu'on les sache en accord avec le soleil. Mais tous, je dis bien tous, dans leurs derniers retranchements, ont utilisé leurs pouvoirs pour emporter avec eux, dans leur malheur, un maximum d'êtres humains : Si je coule, vous coulerez avec moi. C'est aujourd'hui contre eux, qu'il faut se protéger. Car si la nature ne nous tue pas, ce sont ceux qui ne s'adaptent pas, et verront une solution en nous faisant nous suicider, fumer, gazer, boire du poison, s’entre-tuer .. au nom de l'unité humaine et de sa folie destructrice. Quand au réchauffement climatique, il est naturel, normal et nous n'y sommes pour rien. Il précède toujours des changements de cycle galactique et/ou solaire et pourtant, nous payons (écotaxe). Ce qui est normal. Mais les bénéfices ne nous reviendront pas. Comme ils nous font payer ce que l'on a toujours eut (le bio) en introduisant des poisons (ogm), afin de créer la demande dans un marché parallèle.
Une réorganisation des sources énergétiques, une meilleure exploitation, et surtout de nouvelles technologies associant les ondes sonores à l'eau et au magnétisme, les technologies scalaires, pourraient nous être utile. Cependant, aucune organisation reconnue, ne s'occupe de permettre aux nouvelles technologies d'être exploitées et testées dans leurs limites, sans en passer par la guerre. Lorsque de nouvelles technologies devront être testées, les commerçants de ce monde créeront alors un marché de test, et plutôt que de payer une commission, il sera plus rentable pour eux de créer le terrain de test : la guerre. Enfin, d'imposer leur consortium et finalement, de faire que les peuples n'aient pas le choix que de s'orienter dans une même direction. Nous étions plus responsables par le passé, décidant de nous même que nos investissements finiraient tôt ou tard par permettre aux nations de s'élever et de fabriquer des moyens de raliers et de communiquer vers d'autres espaces. Mais lorsque la misère augmente car l'environnement se désagrège, alors l'imagination et la volonté, les projets à l'échelle citoyenne s'amenuisent, et les dirigeants se demandent si il faut forcer les foules, ou les contenir, car réadapter leurs conditions de vie, est un gouffre monétaire. L'alternative à nous laisser crever par souci d'économie, est d'exploiter les ressources de la science et de la vie. Si nous n'investissons pas dans la science, nous ne pourrons pas utiliser les ressources illimités et inépuisables, aussi simplement que l'univers nous les fournis. Vivre dans la pauvreté et l'attente, provoque assurément un manque de productivité et d'énergie. Mais j'ai vu les plus passionnés, fabriqué des fours solaires avec quelques planches de bois et des vieux écrans de TV. Aujourd'hui, il y a peut être un marché dans des véritables entreprises de recyclage, dont le produit finit pourrait bien être breveté. Ce ne sont pas les pauvres, ni l'environnement qui serait a blamer. Mais bien notre gaspillage et notre manque d'imagination à réemployer ce que nous jetons, de façon ingénieuse, afin qu'il bénéficie aux moins fortunés. Tout ceci encore n'est qu'une question de concentration de ses ressources, de ses pensées, et de son imagination. Tout n'est qu'une question d'énergie. Si par exemple certains se refusent à se battre, mais ne défendent pas le pacifisme, c'est parfois qu'ils concentrent leurs ressources dans les solutions, plutôt que dans les destructions.  La patience, et le raz-le-bol en moins, ces mêmes personnes, ont pour passion d'utiliser au mieux leurs ressources. Je me demande, ce que donnerait l'application d'une onde sonore, a l'intérieur d'un fluide sous haute pression, couplé à l'electro-magnétisme? Pourrait-il découper la roche? la déformer? Peut-on par l'énergie scalaire alléger ou alourdir un objet? Peut-ont concevoir grâce à ces nouveaux outils des chantiers colossaux? Les pyramides d'Egypte ont-elles été un moyen de créer l'économie, mettre à profit les sciences de l'époque, donner un objectif aux masses qui désiraient participer en échange de nourriture, afin que les guerres et les conquêtes cessent? En tous cas c'était une solution bien meilleure et bien plus intelligente, mais aussi bien plus rentable que la guerre. Mesdames et messieurs, si vous dirigez ce monde, suspendez un chantier qui fasse rêver l'humanité, au dessus de chaque nation. Mais aussi qui permettent d'aller plus loin, de soulever d'avantage, de travailler plus vite, car l'ère de la communication, de la réalité augmenté, l'adaptation sociale aux nouveaux modes de vies dans un environnement technologique, peuvent se faire soit dans un monde chaotique, avec les plus riches et les plus pauvres, soit dans un grand chantier. J'ai entendu parler de ce milliardaire qui voulait faire voler une cité, et qui en dépit des manques technologiques, a décidé de s’atteler à ce qui pouvait déjà être fait : la construire sur l'eau, utilisant une énergie provenant de l'iode, et dans l'avenir, les connaissances venant, lui rattacher des extensions. Les pyramides représentent un tel projet : une vision à très long terme, une horloge cosmique, qui même si elle ne peut être achevée, permettait de fédérer tous ceux qui demandaient un travail d'intérêt commun et voulaient pouvoir vivre à côté. Ils n'étaient pas esclaves contrairement à ce que l'on croît. Mais les concepteurs comptaient surement que leur civilisation puisse achever et améliorer un chantier qui actuellement n'attend que d'être finit. La NASA, a bien compris. Ses conceptions et ses plans qui lui ont permise de partir dans l'espace, se retrouvent dans des religions aussi anciennes que l’Hindouisme. Dans des glyphes aussi anciennes que les temples mayas, et dans les idées soit-disant farfelues de Nicolas Tesla.
Tant que nous nous battrons les uns contre les autres parce que nous avons faim, ou soif de pouvoir, tant que la guerre sera le seul moyen économique d'avancer, alors, c'est que nous n'avons toujours rien compris à l'aspect précieux et sacré que de devoir préserver notre énergie pour ce qui en vaut vraiment la peine. Mais aussi de la récupérer là où elle a toujours été : partout autour de nous sous diverses formes et fréquences. Si, au yeux du monde, une telle démonstration d'accumulation d'énergie (et non de dégagement d'énergie comme l'atomique) pouvait être mis en place, et constituer un projet international et colossale, alors tous nous réfléchirions moins à nos conditions et d'avantage à ce genre de projet. Mais pour cela  nous devons tirer une leçon clair et lumineuse, sur la Géochronopolitique. A bon entendeurs, Salut.


Licence Creative Commons

Fin du monde pour certains, évolution pour d'autres de Hellingher est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France.
Basé(e) sur une oeuvre à hellingher.blogspot.fr.
Les autorisations au-delà du champ de cette licence peuvent être obtenues à mysthogan@gmail.com.