samedi 28 septembre 2013

Force politique : Qu'est ce que le Devoir?

Dans la vie d'un être humain, chacune de ses pensées deviennent des actions. SAUF Lorsqu'il a peur. C'est pour cela que nos mauvaises pensées ne restent que des pensées : la peur, le spectre de la prison et de la punition. Une excuse qu'on refoule si profond qu'on imagine échapper à tout cela. Si vous avez eut envie de tuer, c'est que vous le feriez si vous n'aviez pas peur...
Les gens biens font rarement peur. De plus, bien des gens ne comprennent pas pourquoi ils font des choses biens.
La réponse est simple : tandis qu'ils pensent à cultiver, élever, sauver, ou a rien... leur esprit est occuper à autre chose, sans aucune peur, en pleine action - inconscient du danger - ils n'ont pas le temps de penser au mal ni à l'action qui l'accompagne, ni à la peur qui les en empêche. Ils font ce qu'ils doivent faire et rarement ce qu'ils ont envie de faire. Mais c'est avant tout une question de culture. Car il existe aussi des gens qui n'ont pas le temps de penser aux choses biens.

A l'identique : tandis qu'il ne se passe affreusement rien dans la banlieu de notre galaxie, nos chances de survie à une destruction planétaire sont considérablement réduites

Au cours de sa vie, une personne aura prise de nombreuses décisions mais celles qui ont améliorées le monde et la vie de chacun se comptent sur les doigts de la main. Elles partent souvent non pas d'une bonne intention, mais d'un refus de voir se répéter des drames.

Quelles décisions peuvent prendre des gens qui n'ont vus ni vécus aucun drame? Protégé par la sécurité d'un foyer, d'une politique, d'une nation, d'une société ?

Quelles décisions peuvent prendre un enfant qui suit son idéal, ses envies, et ses instincts primitifs?

Ces deux personnes ne connaissent pas la peur. Ni les conséquences de leurs décisions.

Parmis les décisions les plus sages qui ont été prises par le passé et influencent notre vie de tous les jours, celle d'occuper les esprits des populations avec la religion (venez prier le jour où il n'y a rien à faire et où vous risquez d'avoir des pensées que vous regretteriez). Ou avec le sport. Avec l'actualité.

La religion est la mondialisation d'une activité qui se passait à l'échelle de chaque village, il y a des milliers d'années : le chef organisait une cérémonie lorsque le moral n'allait pas.

Car tant que chacun ne peut ni maîtriser ses pensées, ni les contrôler pour les orienter en connaissance des conséquences, alors il n'y a que du chaos.

C'était - à une époque - le rôle des parents que d'apprendre à leurs enfants ce qui est important à leur échelle mais aussi en conséquence des autres.

Le devoir politique appartient à ceux dont le vécu est emprunt de l'expérience des décisions et des conséquences. Une telle personne ne peut être ni élue, ni en rapport directe avec le peuple car ce dernier est intolérant. Elle doit être représenté par une personne élue par le peuple. Elle a l'expérience de sa vie. Elle a dirigé sa famille, cultivé son jardin, éduqué ses enfants, avec des erreurs qu'elle a réparées. Car au pouvoir nous n'avons que rarement le droit à l'erreur et c'est pourtant nécéssaire pour devenir une véritable force décisionnelle.

Une force décisionnelle capable de prendre de bonne décision ne peut pas non plus avoir voué sa vie pour les autres sans avoir commencé par gérer sa propre vie.

Un grand dirigeant n'est donc ni un pape, ni un politicien, ni célibataire, mais ancré dans une vie stable et très présente, assumant un passé même difficile, ayant pris les décisions pour que ses enfants fassent tourner le monde avec leurs propres inspirations. Il peut être à la tête d'une entreprise dans laquelle il fait participer des gens dont il a obtenu la confiance en leur donnant le sens des valeurs et non la valeur de l'argent. Et le plus difficile : il sait donner une valeur monétaire juste à l'effort de chacun sans se laisser emporter dans ses envies de faire plaisir à tout un chacun. Il sait s'entourer avec humilité de ceux qui expliqueront mieux les choses que lui à tous les niveaux.

Mais quoiqu'il arrive, une fois au pouvoir, il devra réappliquer son modèle à l'ensemble du pays. Pour que ce dernier soit l'exemple d'une réussite. Il sera confronté à l'orgueil et à l'exigence des autres pays. Et si il ne leur a pas démontré que l'exemple de sa vie vaut mieux que de s'entêter dans l'erreur, alors il devra faire la guerre pour que son modèle, libre d'inspiration et emprunt de valeurs, soit compris et intéresse. Tout simplement parce que certaines cultures ne voient pas. N'entendent pas. Ne comprennent que la violence et la peur. Et leur modèle est la soumission inconditionnelle, car il n'y avait, a leur époque, pas d'autres alternatives.

Qu'est ce qui a réellement répendu la peur dans le monde ? Non pas la science. Mais ce que l'homme en a fait.

Mais c'est la science qui a le plus aidé le monde.

Alors qu'est ce que le Devoir Politique ?

Celui de donner du pouvoir à des personnes d'expérience qui aiment le monde comme ils aiment leurs familles. Passionnés de science et de voyage. Ils sont à la tête d'entreprises qui ambitionnent d'allier nature humaine et découvertes, sciences et voyages.  Ils savent aussi que tout cela n'intéresse pas les gens qui ont des difficulté à gérer leurs besoins. Mais ils n'en font pas leur profit en créant le besoin (drogues alimentaires). Ils investissent dans la libération des besoins.

Qui sont-ils ? Et surtout : où sont ils?

Pour qu'une force dirigeante émerge,  tout commence localement. Non pas à l'échelle d'un pays, mais à l'échelle d'une famille puis d'un département et ensuite d'une région. L'effet domino fera le reste...

Le modèle qui s'en rapprochait le plus était américain : les régions étant dominé par un pouvoir entreprenarial emprunt de valeur mais chaque région se regroupant et se retrouvant pour discuter.

Dernièrement celà ne tournent plus "rond"

Pourquoi?

Se réunir et échanger est positif. Mais relever sans cesse ce qu'il ne faut pas faire dans telle ou telles régions pour ne pas prendre en exemple un type de décisionnelle a un effet néfaste. Démoralisant.
Lors de telles réunions inter-dirigeants, c'est ce qui est positif qui doit être pris en exemple. Et le mettre en oeuvre coùte que coùte. Ainsi à l'image d'un esprit occupé, une région occupée à mettre en oeuvre un mécanisme positif n'a plus le temps, l'énergie et l'argent pour investir dans ce qui jusqu'à présent nuisait à l'économie. Un modèl essentiel peut être repris semaine après semaine. Mois après mois pour qu'année après année, l'impacte soit positive sur la durée.
Si la décisionnelle se fixe sur l'aspect négatif, mais aussi sur une échelle uniquement régionale ou provinciale, alors le sens des réunions ne sera plus d'améliorer une situation mais d élaguer ce qui ne va pas, tandis que l'immobilisme s'installe et qu'une dynamique économique se perd, coupant tout élan au négatif, mais aussi au positif. C'est cela, abandonner sa famille.

Ce qui est négatif n'a aucune importance. L'heure n'est plus aux jugements. Le jugement lui même n'a plus le temps. La loi, le droit et le pénal eux même sont la preuve d'une dynamique défaillante car lorsque s'unissent quelque part des responsables à quelques échelles que ce soit, il y a toujours quelque chose de négatif qui y est relevé. Un jugement à pourvoir. Au détriment de "Que faut-il faire de mieux et que faut il adopter qui marche pour vous et que nous ne faisons pas?"

En rajoutant une dimension positive, un projet, nous donnons aussi du travail à ceux qui n'en avaient pas. Nous leurs permettons d'avoir de quoi fonder une vie et une famille. Quant à ce que nous faisions de négatif, ces projets mourrons petit à petit d'eux même sans qu'on ait réellement besoin de discuter de comment les stopper, les juger, ou bien même les endiguer.

Ils n'existent que parce que nous ne prenons pas les décisions positives et passons notre temps à discuter du négatif et du préoccupant du plus petit niveau décisionnel, jusqu'aux plus hautes sphères.

Quel modèle peut montrer l'exemple à échelle humaine. Prendre son temps et investir pour pousser ce modèle vers une entreprise, libéré de certaines contraintes primaires, puis permettre à ceux qui entreprennent de dialoguer le plus souvent possible sur l'aspect positif a retenir, laissant aux portes des salles de réunion l'aspect néfaste qui doit s'éteindre non pas sous forme de vies qui disparaissent, mais déjà dans l'esprit de chacun, sous la forme d'idées qui, nous le savons maintenant, ne doivent plus s'inviter dans nos esprits.

Comment? Occupons notre temps, nos réunions et nos esprits de solutions positives. Ou sinon, ce sera le sacrifice de vies entières sur lesquelles il faudra investir.

C'est cela le Devoir Politique. Il ne commence ni à l'école, ni à l'enfance, ni trop tôt ni trop tard. Il commence dés qu'on le décide en étant stricte sur ce seul point. Par effet de conséquence nous n'aurons plus besoin d'être stricte à tous les niveaux.

C'est une scission entre ce qui est positif et un rejet de ce qui est négatif. Un rejet n'est jamais bon, mais seul ce qui se suffit à lui même et génère sa propre culture a des chances de survivre : la nature ne nous a jamais caché que sa sélection était incontournable, et quelle éradiquerait tout ce qui ne peut survivre à elle même. Nous n'avons pas besoin d'être nos propres juges lorsque la nature se charge déjà impitoyablement de détruire tout ce qui est faible car "dépendant". Et le Devoir politique est aussi de considérer que tout système de Co-dépendance est voué à l'échec.

Nous sommes actuellement dans ce type de système. A l'échelle global nous nous comportons presque comme une entité auto-suffisante. Mais il viendra un jour où il y aura une scission. Ce que je proposais ici, c'est qu'il soit dans l'esprit de chacun, plutôt qu'autour et contre nous. Ce que nous faisons en nous, la moindre pensée, non-acté ou acté, bien ou mal, apparaît autour de nous.

Le Devoir Politique est d'amener dans les décisionnelles, un travail moral sur nous même afin qu'il impacte chacun en amont comme en aval, à tous les niveaux géographiques mais aussi indépendamment de toutes les époques.

Etre Dirigeant n'est pas de prendre des décisions pour les autres. Mais de communiquer aux autres les décisions qu'on a prises pour soi-même afin d'améliorer et diriger nos propres vies.


jeudi 12 septembre 2013

Le stratagème de l'Okuden

Okuden : art secret (qui danse devant nos yeux)
http://chenezen.over-blog.com/article-les-okuden-ces-secrets-qui-dansent-devant-nos-yeux-97666338.html

Le gaz sarin, employé en Syrie, l'a été à forte dose, d'un coup et sur des êtres humains, sous une forme claire et non transformée dans un lapse de temps court. Et cela ne fait pas bon genre et mérite une punition. Orchestrée dans une mascarade montée de toutes pièces par tous les pays. Montrant aux caméras des scènes de dirigeants si grotesques dans leurs réactions infantiles, que s'en est trop pathétique pour être plausible. De Poutine à Obama en passant par Hollande ou Xi Jinping.

Qu'ont-ils tous en communs? Ils autorisent tous de par leurs signatures où dérogation, des produits chimiques cancérigènes de la même famille que le gaz sarin (organophosphorés) et nous le font ingéré dans une immense industrie mondialo-économique, les uns implantant chez les autres, les supermarchés qui nous les font bouffer, mais tout doucement, a petite dose... et ca c'est bien !

organophosphorés : dans le roundup (désherbant qui peuple vos légumes du supermarché et surement votre estomac), le malathion (antiparasitaire très utilisé en Chine, ex-URSS et aux USA, interdit depuis 2007 dans l’Union Européenne) et le Phosmet (utilisé sur les pommiers). Mais parce qu'on nous tue tous doucement et lentement, et que ceux qui le font se sont d'autres "nous" inconscient d'avoir accepté les normes autorisées, ça passe naturellement. C'est la vie...

Ce qui nourrit l'esprit humain, c'est le recul des années, la mémoire... et non l'actualité qu'on agite sous le nez affamé de quelques futurs pauvres européens. Si j'attire votre attention brutalement, vous oublierez surement tout le mal que d'autres vous ont fait lentement. Vous vous défoulerez immédiatement sur ce que vous avez sous la main. Mais que faisons nous pour ce qui se perpétue morbidement chaque jour, chaque instant? Seule la méthode change et nous n'en voulons jamais à ceux qui nous détruisent à petite dose. Nous les aimons. Nous votons pour eux. Nous les encourageons. Mais nous savons que quelque chose ne tourne pas rond. A la limite du syndrome de Stockholm.

Cela révèle que la guerre, bruyante et brutale, dans les frontières et pour du terrain, c'est du passé. Désormais elle est permanente insidieuse et ressemble à la paix parsemée de beaucoup de cancer qu'on récolte dans les supermarchés, les hôpitaux, et les lieux de fête d'une société dite civilisée.

Les profits que génèrent de tuer des millions de gens, quand on a compris que c'est ce qui poussait une civilisation à devenir productive, on ne peut s'en passer et quelques uns ont compris qu'en investissant un peu dans les produits de fin de vie, la fin prématurée des nôtres leur rapportait beaucoup : espace, liberté, assurances vie, économie...

La surpopulation? Si vous êtes un vrai word-businessman, vous comparez cela aux restes d'une boucherie : "on récupère tout ce qui dépasse, les tissus conjonctifs, on les broie, les malaxe, on en tire une pate appelée "pink slime" et on s'en sert comme produit esthétique pour que la viande hachée reste rose"

La réalité comme la vérité deviennent ignoble, moche, étalée par des êtres abjectes qui se drogue, ont des putes, sont des traitres, (Tom Spencer, Julian Assange, Snowden). Alors qu'affrontée, elle est l'endurance mentale, la volonté, et la fierté du genre humain. Mais lorsqu'on favorise l'ego politique, le socialement correcte, lorsqu'on veut être bercé d'illusion et choyer encore un peu alors qu'il faut se réveiller, on substitue alors l'une des rares forces de l'humanité, à une haine, une frustration, une arrogance et une fragilité pour laquelle il ne faut pas s'étonner de devoir sourire hypocritement et croiser des regards faux comme mauvais. Il ne faut pas s'étonner de se réveiller chaque jour dans ce monde et de se sentir responsable alors qu'on a rien fait, parce qu'on ne peut rien y faire a part faire bonne figure, être présentable, se tenir droit ou sinon... on est marginalisé.

Nous en sortirons lorsque la colère sera si forte, qu'aucune manifestation, aucun stratagème, aucun sport ni J.O. ni aucune distraction ne pourront nous faire oublier que le mal, ce n'est pas 5 secondes de douleurs brutale dans un pays situé à quelques milliers de kilomètres mais 200 années de malversations socio-politiques. Ou le bien, n'est pas non plus quelques secondes de plaisirs, mais 200 années de culture. Mais pour l'instant absolument tout nous distrait de cette état d'esprit et nous oblige à regarder là où nous sommes. Tout nous oblige à ne surtout pas prendre du recul. C'est surtout ce qu'il faut empêcher à tous prix, même celui de la vie : que la conscience du peuple se réveil. Et pour cela, quelques feu d'artifices, une distraction, une nouvelle mode, nouvelle technologie,... cela suffit.

La démocratie c'est lorsque tous disent "Nous voulons... nous ferons... nous ne tolérerons pas".

La dictature c'est lorsque quelques uns disent pour vous : "Nous voulons pour vous... nous feront pour vous... nous ne tolérerons de personne"

Nous serons prêt lorsque notre seul oeil (ancien français : Sol - Eil) sera accoutumé. Voilà pourquoi en cette année 2013, un culte pour l'oeil d'Horus refait surface, sans cesse.